LE PAYS DOGON

La population du Pays Dogon est estimée à plus de 300  000 personnes.

Ils sont cultivateurs et sédentaires. Leur principale ressource est le mil qui pousse bien et vite

(durant la saison des pluies de fin juin à début octobre)...Lire la suite

 

 

Nous partons  sur la falaise de Bandiagara à la rencontre des familles et des habitations.

 

  • La falaise de Bandiaguara, Pays Dogon, Mali 2007
  • A la rencontre de coutume et de culture
  • Au sein du village, la concession est composée d’une cour entourée de cases pour chaque membre adulte de la famille
  • chacun ayant son propre grenier fermé par des volets sculptés en demi-relief.
  • Les précieuses céréales sont conservées dans le grenier des hommes.
  • Les femmes Dogon ont pour tâches quotidiennes de s’occuper de la maison
  • aller chercher l'eau
  • et le bois pour la cuisson.
  • et piler le mil
  • La farine de mil devient rapidement rance et ne peut être conservée longtemps.
  • De plus en plus on mécanise cette préparation. Le grain est alors passé dans une décortiqueuse et un moulin ce qui évite un travail laborieux et améliore la qualité de la farine.
  • La teneur en protéines des différents mils, et leur qualité, se compare à celle du blé ou du maïs.
  • C'est un aliment énergétique et nutritif.
  • Le millet est préparé sous forme de bouillie et de galettes : le Tô sauce baobab
  • Le marché à lieu tous les cinq jours,
  • moment essentiel pour s’informer et se rencontrer.
  • Dans les travaux de terrassement , Atemelo veut agrandir la surface habitable de son village, il creuse dans le grès qui constitue la falaise.
  • En bas de cette falaise, au bord du désert, Amatigué construit une route pour faciliter l’accès à son village.
  • Les constructions se font avec les matériaux disponibles sur les sites : la pierre, le banco fait de terre et de paille broyée, quelques branches d'arbre et la paille des hautes tiges de mil pour les toits des greniers.
  • Sculpteur officiel de l'art Dogon,
  • Le spécialiste en réparation et bricolage pour téléphone portable et autres matériels éléctronique.
  • Sur les bords du Baní, c’est la cueillette du tabac. La terre cultivable est très limitée.
  • La falaise de Bandiaguara, Pays Dogon, Mali 2007
  • A la rencontre de coutume et de culture
  • Au sein du village, la concession est composée d’une cour entourée de cases pour chaque membre adulte de la famille
  • chacun ayant son propre grenier fermé par des volets sculptés en demi-relief.
  • Les précieuses céréales sont conservées dans le grenier des hommes.
  • Les femmes Dogon ont pour tâches quotidiennes de s’occuper de la maison
  • aller chercher l'eau
  • et le bois pour la cuisson.
  • et piler le mil
  • La farine de mil devient rapidement rance et ne peut être conservée longtemps.
  • De plus en plus on mécanise cette préparation. Le grain est alors passé dans une décortiqueuse et un moulin ce qui évite un travail laborieux et améliore la qualité de la farine.
  • La teneur en protéines des différents mils, et leur qualité, se compare à celle du blé ou du maïs.
  • C'est un aliment énergétique et nutritif.
  • Le millet est préparé sous forme de bouillie et de galettes : le Tô sauce baobab
  • Le marché à lieu tous les cinq jours,
  • moment essentiel pour s’informer et se rencontrer.
  • Dans les travaux de terrassement , Atemelo veut agrandir la surface habitable de son village, il creuse dans le grès qui constitue la falaise.
  • En bas de cette falaise, au bord du désert, Amatigué construit une route pour faciliter l’accès à son village.
  • Les constructions se font avec les matériaux disponibles sur les sites : la pierre, le banco fait de terre et de paille broyée, quelques branches d'arbre et la paille des hautes tiges de mil pour les toits des greniers.
  • Sculpteur officiel de l'art Dogon,
  • Le spécialiste en réparation et bricolage pour téléphone portable et autres matériels éléctronique.
  • Sur les bords du Baní, c’est la cueillette du tabac. La terre cultivable est très limitée.
  • La falaise de Bandiaguara, Pays Dogon, Mali 2007
  • A la rencontre de coutume et de culture
  • Au sein du village, la concession est composée d’une cour entourée de cases pour chaque membre adulte de la famille
  • chacun ayant son propre grenier fermé par des volets sculptés en demi-relief.
  • Les précieuses céréales sont conservées dans le grenier des hommes.
  • Les femmes Dogon ont pour tâches quotidiennes de s’occuper de la maison
  • aller chercher l'eau
  • et le bois pour la cuisson.
  • et piler le mil
  • La farine de mil devient rapidement rance et ne peut être conservée longtemps.
  • De plus en plus on mécanise cette préparation. Le grain est alors passé dans une décortiqueuse et un moulin ce qui évite un travail laborieux et améliore la qualité de la farine.
  • La teneur en protéines des différents mils, et leur qualité, se compare à celle du blé ou du maïs.
  • C'est un aliment énergétique et nutritif.
  • Le millet est préparé sous forme de bouillie et de galettes : le Tô sauce baobab
  • Le marché à lieu tous les cinq jours,
  • moment essentiel pour s’informer et se rencontrer.
  • Dans les travaux de terrassement , Atemelo veut agrandir la surface habitable de son village, il creuse dans le grès qui constitue la falaise.
  • En bas de cette falaise, au bord du désert, Amatigué construit une route pour faciliter l’accès à son village.
  • Les constructions se font avec les matériaux disponibles sur les sites : la pierre, le banco fait de terre et de paille broyée, quelques branches d'arbre et la paille des hautes tiges de mil pour les toits des greniers.
  • Sculpteur officiel de l'art Dogon,
  • Le spécialiste en réparation et bricolage pour téléphone portable et autres matériels éléctronique.
  • Sur les bords du Baní, c’est la cueillette du tabac. La terre cultivable est très limitée.